Lisiane Moerman

Lisiane Moerman est née à Waregem, une petite ville rurale, dans les années cinquante.
Cette ville est connue en Flandre pour Waregem Koerse, un evenement de course de chevaux.
L’amour pour les chevaux a été présent dans l’ oeuvre de Lisiane en plusieurs formes : dessiné, peint,
en bronze, en action avec des coureurs concentrés, mais aussi sur demande, avec le portrait des
lauréates… même en porte-clé.
Après ces études à l’école rénommé Saint-Luc à Gand, elle devient prof artistique en toute conviction.
Elle semble être née avec le crayon entre les doigts. Elle est convincue que une bagage technique est
incontournable pour les ouvrages d’art et c’est cela qu’on passe aux élèves dans l’école. Son expertise
tecnique est bien visible dans tout les livres qu’elle ammène dans son bagage quand elle part en
route. Avec une variation de technique elle dévoile le caractère de ce qu’elle voit.
L’art et la vie sont unie à chaque moment. La joie et la tristesse, le douleur, la maladie, l’amour et la
haine, communication et solitude, tout les conditions humaines sont intéressantes pour cette artiste.
Et tout ce qui se passe dans sa vie se retrouve dans son oeuvre. Ces tablaux ont plusieurs couches,
dans lesquelles la couche desus reste visible comme blessure. Chaque tablaux est un expériment,
Lisiane ne se répose pas avant qu’elle a trouvé la perfection.
Et le nec plus ultra de l’expériment est la grafique. De nombreuses techniques, combiné ou pas, et si
un technique n’existe pas, elle va sûrement l’inventer…
L’art et l’emotion. L’oeuvre de Lisiane demande la communication avec le spectateur. Pour elle, le
travail artistique est comme une thérapie, mais aussi le spectateur peut se retrouver dans ces
émotions et commencer à transformer le douleur .
Comme amie, je ne demande jamais : Lisiane, comment vas-tu?
Je demande : as-tu dessiné aujourd’hui? Alors je sais